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ASSOCIATION ALTAR-EUROPE FRANCHE-COMTE
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  • Développer l’archéo tourisme identitaire à partir de vestiges antiques apparents, voire redécouvrir par des lectures de paysages, transmissions orales, toponymique et prospections de surfaces …( Circuits touristiques, conférences, hébergements, etc...)
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19 septembre 2016

Le Mystere de l'an 0, d'Alesia au Christianisme..

CouvJean-ClaudeBonnot3

Avant de rebondir ou m'impliquer dans une action politique  en accord à l'éthique de ce blog, j'appose ici  la couverture et le  synopsis de présentation de mon livre.  A ce stade, après avoir tergiversé avec plusieurs éditeurs (j'ai fini par me décider pour une maison à dimension humaine  http://editions-maia.net/ ), j'ai du, pour mieux me faire comprendre de "professionnels" qui hesitent à me classer dans tel ou tel genre (essai, roman historique, esotérique, spirituel ou politique) ajouter un sous titre aussi intrigant que révélateur..

(...le Mystère de l'an 0 )

                                                             

                                                          

 

                                                           D’ALESIA AU CHRISTIANISME 

                                                             Le Mystère de l'an 0

 

 

       Enquêter et  produire une synthèse cohérente sur un sujet délicat où se mêlent identité nationale et substrat religieux, est un défi suspicieux de nos  jours.  Pourtant, je vous invite à me suivre sur une affaire historique et polémique franco-française qui toutefois concerne le monde entier (Jefferson n’a-t-il pas dit «  Chaque homme a deux patries, la sienne et la France ») .  A savoir, la localisation d’Alesia, conquise par les romains en 52 av JC. Cité considérée comme « sacrée » d’après certains auteurs antiques, qui à mon sens  est victime d’un escamotage pour dissimuler l’origine du Christianisme.     

     Le tout, introduit  d’un exposé -rigide de prime abord- mais vite étoffé  d’un scénario stipulant l’enlèvement et la récupération du Christ par un réseau de religieux déchus : « les Mandéens-Mandubiens »… peuplade mentionnée par César comme les habitants d’Alesia. Ceux-ci d’après ma version seraient en fait les récipiendaires de rites ancestraux, évoluant par la suite en société secrète qui,  en s’infiltrant parmi les Gallo-romains  fondèrent le Christianisme… 

     L’intrigue initiale romancée devient vite accessoire suite à l’orientation prise.  Toutefois, le couple de « touristes chercheurs » imaginés pour la circonstance,  parti en Grèce reconnaître les tombeaux de descendants d’un illustre inconnu -ancien chef des croisades-, parvient en transition à nous faire apprécier la période des Templiers. Ces moines soldats qui, dans leur implication ésotérique firent  trembler le Vatican et le pouvoir royal.  D’autant qu’ils sont à l’origine de la réapparition du Saint Suaire… Relique des reliques qui  s’inscrit comme une clé dans cet ouvrage.

      Dans les vifs débats des deux protagonistes où l’auteur se met en scène au côté d’une amie rencontrée peu avant au cours d’une réunion politique quelque peu «  New-Age », nous pourrons suivre les confrontations des valeurs auxquelles chacun se voue. Par la suite, au retour, chacun reprendra son parcours comme deux cheminements parallèles allant vers un même but, sans pour autant parvenir à fusionner.

Développement et  conclusion  nourrissent et édifient incidemment  « ce Troisième Testament  », dont l’on ne sait encore s’il s’agit déjà du réel ou de son écho.

     Le livre se termine à l’instar d’un précepte que j’aurais pu glisser dans cet ouvrage…. Mais peut être fallait-il donner, du temps au temps.

    « Inutile de dénoncer, l’hérésie, si l’on ne peut révéler le juste ! »

 C’est pourquoi, je me suis employé, tout au long de ces pages  à initier une directive que je détiens de bouddhistes  japonais qui m’ont aidé à me réaliser au sein de notre société Occidentale.   J’applique à cet effet, un diagramme édifiant sur le développement de la personne, auquel je me permets d’introduire le symbole fondateur qu’il m’aura été donné de reconnaître.

     En toute fin, pour ne point s’égarer, j’en reviens à rappeler que seule une archéologie libérée, à laquelle les citoyens donneraient les moyens de ses ambitions, est en mesure de servir de « garde fous ».

 

 Jean-Claude BONNOT

 

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